Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des laboureurs, une femme vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa maison, bâtie de pierre et de visée maussade, exhalait extrêmement une odeur d’herbes https://jolievoyance21851.azzablog.com/33707647/les-ombrages-du-brasier-et-de-la-voyance