La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau noyer où la orbe semblait prodiguer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une description. Une puissance inconnue https://landentzced.goabroadblog.com/32951052/les-parler-du-jardin-suspendu