Le train filait via la nuit, ses roues d’acier glissant sur les rails avec un calme presque irréel. Aucun panneau, pas de paysage prescience ne défilait par la fenêtre, tels que si la locomotive traversait un cercle suspendu entre le matériel et l’inconnu. Le passager sentit le wagon vibrer légèrement https://edwinzhknp.tribunablog.com/les-numéros-de-la-destinee-48263228