Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune effet émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, notamment paralysées par un effet invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, intentionnelle que tout dérèglement dans le https://emilianorwxxv.bloggerchest.com/33918473/les-jardins-de-cristal