À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un beauté terne marqué par les premières pluies d’octobre. Dans un foyers excentré, protégées des regards, une femme nommée Daciana avait transformé une pécule personnelle en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie sur l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une précision qui avait https://arthurazyv012222.bloggin-ads.com/57282016/le-cours-consumé