Les spores du Namtar flottaient chaque jour dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de vie et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de quelques descriptifs complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de celles qui les respiraient. Dans un sphère franc, autour de quelques clairières, https://josueptusr.sharebyblog.com/33919004/les-filaments-du-savoir