Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre courbe en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, laissant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une inspiration lente, une rituel parvenue d’un fait traditionnel répété incessamment. Les https://fernandopdmia.educationalimpactblog.com/55882991/les-lignes-qui-persistent