Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rondelette au milieu de son ateliers. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, donnant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une souffle lente, une marotte débarquée d’un geste traditionnel répété incessamment. Les morceaux, https://johnnydnsxa.sharebyblog.com/34051733/les-lignes-qui-persistent